Benjamin Mendy publie une tribune dans The Times pour dénoncer l’esclavage des migrants en Libye

Benjamin Mendy publie une tribune dans The Times pour dénoncer l’esclavage des migrants en Libye

photo de profil

Par Lucie Bacon

Publié le

“Je sais que certains diront que je ne suis pas la bonne personne pour parler de ces sujets, mais j’espère que ces quelques mots auront un effet positif et aideront les gens à réaliser que des solutions doivent être trouvées”.

À voir aussi sur Konbini

C’est avec cette humilité que Benjamin Mendy clôt la tribune qu’il a publiée, ce mardi, dans The Times. “L’esclavage ? En 2017 ? Pas question” déclare le latéral de Manchester City, très actif sur les réseaux sociaux pendant sa convalescence (il a été victime d’une rupture des ligaments croisés en septembre) et qui profite donc de sa notoriété pour parler des causes qui lui tiennent à cœur. 

#IMNOTFORSALE Read my whole Tribune in the @timessport - out today 

Une publication partagée par Benjamin Mendy (@benmendy23) le


L’ancien Monégasque explique dans ce texte qu’il était en train de “scroller sa timeline Twitter” quand il est tombé sur cette vidéo de CNN qui racontait le sort de migrants en Libye, vendus sur des marchés en tant qu’esclaves. Après s’être renseigné sur le sujet, il explique : 

“La situation est compliquée en Libye depuis le début de la guerre civile. Les Libyens essayent de se débrouiller chaque jour pour survivre. Mais des monstres et des prédateurs profitent de personnes désespérées et cela peut mener à de la torture, des viols, de l’esclavage et d’autres horreurs.” 


Le sujet de l’immigration touche particulièrement Benjamin Mendy, dont les parents ont également fui l’Afrique pour trouver une vie meilleure en Europe, comme il l’explique dans cette tribune, qui, il l’espère, fera un peu bouger les choses : 

“Le fait que nous ayons maintenant accès à ces informations nous aide à croire que quelque chose peut être fait… et doit être fait.”

Vous pouvez lire l’intégralité de la tribune de Benjamin Mendy ici, en vous inscrivant sur le site du Times.