Le grand n’importe quoi des réseaux sociaux, spécial PSG-Monaco

Le grand n’importe quoi des réseaux sociaux, spécial PSG-Monaco

photo de profil

Par Julien Choquet

Publié le

Le coup d’envoi de Ronaldinho, le match de Matuidi et l’égalisation controversée de Bernardo Silva : retour sur ce PSG-Monaco sur les réseaux sociaux.
Dimanche soir au Parc des Princes avait lieu le premier gros choc de l’année 2017 entre le Paris Saint-Germain et l’AS Monaco. S’il était encore tôt pour parler de match décisif dans la course au titre, il pouvait permettre de juger le niveau des deux équipes à 15 jours des huitièmes de finale de C1.
Et qui dit grand match dit invité exceptionnel. Le petit prince du Parc, Ronaldinho, est présent pour donner le coup d’envoi.




La première période du match est très tactique. Peu d’occasions à se mettre sous la dent, mais énormément d’intensité. Néanmoins, Monaco est mieux en place et inquiète par deux fois Kevin Trapp, particulièrement vigilant. Malheureusement pour Paris, le gardien allemand se blesse et doit laisser sa place à Alphonse Areola juste après la pause.

Si Kevin Trapp réalisait jusque là un bon match, un autre parisien passe lui totalement à côté : Blaise Matuidi.



Une piètre performance pour Blaisou, qui contraste avec celle de Toto Meunier. Le Belge réalise une grosse prestation, et réussit même un double grand pont sur Mendy et Jemerson peu après l’heure de jeu. Le Parc exulte.




Alors qu’on se dirige vers un (bon) match nul, Sidibe accroche Draxler dans la surface à 10 minutes du terme. L’arbitre n’hésite pas et accorde un pénalty en faveur du PSG, transformé par Cavani.


On se dit alors que le match est gagné pour le PSG. Loupé. Dans le temps additionnel, l’ASM joue un corner à deux, et Bernardo Silva s’en va seul tromper Areola d’une frappe lointaine.





Néanmoins, pour certains, les critiques sur le portier parisien sont loin d’être justifiées, et c’est l’arrière-garde parisienne qui en prend pour son grade.



Score final : 1-1. Un résultat logique sur l’ensemble du match. On se quitte , sans transition aucune, avec ce tweet magique.

À voir aussi sur Konbini