Le grand n’importe quoi des réseaux sociaux, spécial France-Australie

Le grand n’importe quoi des réseaux sociaux, spécial France-Australie

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Par Julien Choquet

Publié le

La VAR, la goal-line technology et la main d’Umtiti : ça méritait bien un grand n’importe quoi des réseaux sociaux. 
Ça y est : le jour de gloire est arrivé. Ce samedi, l’Équipe de France lançait sa Coupe du monde en affrontant l’Australie. Une rencontre déjà décisive pour les Bleus, qui n’avaient pas le droit à l’erreur tant on connaît l’importance d’un match d’ouverture pour une grande nation. 
La première période est frustrante pour les hommes de Deschamps. Après quinze bonne minutes, les Bleus rentrent peu à peu dans le rang et se font même peur lorsque Lloris est obligé de s’employer pour sauver son équipe. Un premier arrêt décisif pour le gardien des Bleus, critiqué lors des matches de préparation. 




Du côté des Bleus, pas grand-chose à se mettre sous la dent. Pour ne pas dire rien du tout, à l’image d’Antoine Griezmann, très discret dans ce premier acte. 



Conclusion de la première période :  




La seconde période débute de la meilleure des façons. Dix minutes après la reprise, Griezmann obtient un pénalty après que l’arbitre a visionné la vidéo. Grande première dans ce mondial, et Grizou ne se fait pas prier pour ouvrir le score pour les Bleus : 



Malheureusement, l’Équipe de France ne tient pas son avantage très longtemps. Cinq minutes après l’ouverture du score, Umtiti commet une grossière main dans la surface française et concède un pénalty. Jedinak ne tremble pas et égalise pour l’Australie. Tout est à refaire. 








La suite est très compliquée. Les Bleus ne trouvent pas l’ouverture, mais bénéficie d’un coup du sort à 10 minutes du terme. Lancé en profondeur, Pogba voit son lob détourné par un défenseur… avant de terminer sa course juste derrière la ligne de but. La goal-line technology confirme : les Bleus prennent les devants. 






À noter l’entrée en jeu d’Olivier Giroud, passeur décisif et plus qu’important sur cette action. 





C’est terminé : les Bleus s’imposent dans la plus grande des douleurs face à une Australie conquérante. Le principal est là, les trois points. 


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