Le grand n’importe quoi des réseaux sociaux, spécial finale du mondial féminin

Le grand n’importe quoi des réseaux sociaux, spécial finale du mondial féminin

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Par Julien Choquet

Publié le

Le grand jour est arrivé.

Dimanche, le Parc OL était plein à craquer à l’occasion de la finale du mondial 2019. Grandes favorites, les Américaines affrontaient les Néerlandaises afin de conserver leur couronne mais tombent sur un os en première période : Sari van Veenendaal. 
La gardienne néerlandaise est impériale et écœure une à une les attaquantes américaines. À la pause, le score est de 0-0. 



Alors forcément, pour débloquer la situation on avait besoin de notre ami le VAR. Après un contact sur Alex Morgan dans la surface, l’arbitre française Stéphanie Frappart accorde un pénalty pour les USA. Une décision qui fait grandement débat. 






Megan Rapinoe ne tremble pas et ouvre le score pour les États-Unis. Les Néerlandaises prennent un premier coup derrière la tête et tombent même KO quelques minutes plus tard. À la conclusion d’une belle action, Rose Lavelle fait le break pour les USA. 




La révélation américaine offre le titre à ses coéquipières : les USA sont championnes du monde pour la quatrième fois de leur histoire (2-0). Élue meilleure joueuse et meilleure buteuse de la compétition, Megan Rapinoe, activiste anti-Trump assumée, va pouvoir fièrement rentrer au pays. 



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