Le grand n’importe quoi des réseaux sociaux, spécial France-Russie

Le grand n’importe quoi des réseaux sociaux, spécial France-Russie

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Par Julien Choquet

Publié le

Le premier but en sélection de Kante, le bijou de Payet et la victoire des Bleus : retour sur ce France-Russie sur les réseaux sociaux. 
Après le succès obtenu face aux Pays-Bas, l’Équipe de France recevait la Russie mardi soir au Stade de France. Une rencontre qui permettait notamment à N’Golo Kanté de fêter sa première titularisation en bleu le jour de son anniversaire. Et le milieu de Leicester va s’offrir le plus beau des cadeaux : un but, dès la 8ème minute de jeu.





Une petite statistique au passage. Efficace.

Et comme contre les Pays-Bas, la France ne se contente pas de gérer le résultat mais veut enfoncer le clou en première période. Une domination conclue par Gignac, qui fait le break juste avant la mi-temps. La concurrence tremble.



À la reprise, petit turn-over pour Deschamps : Coman et Mathieu entrent en jeu. Malheureusement, le défenseur barcelonais se blesse au bout de 7 petites minutes. La poisse.



Peu après cette blessure, les Bleus encaissent un but mais peu importe, le plus beau est à venir. L’heure de jeu : l’heure pour Dimitri Payet de chausser les crampons. Le jour de ses 29 ans (oui oui, il est né le même jour que N’Golo Kanté), et quelques minutes après son entrée en jeu, Payet envoie un sublime coup franc dans la lucarne russe. On a encore du mal à s’en remettre. Et on n’est pas les seuls apparemment.




Comme contre les Pays-Bas, la France mène de deux buts. Mais comme contre les Pays-Bas, les Bleus jouent avec le feu et encaissent un but peu après le bijou de Payet. Il faut s’en remettre à la jeunesse pour reprendre un peu d’air. Kingsley Coman marque son premier but en bleu après un beau raid solitaire à 10 minutes du terme. Facile l’ancien parisien.




Au final, victoire logique des Bleus qui font le plein de confiance durant cette trêve internationale. Grosses doses de plaisir pour les supporters, mais aussi pour les joueurs. Surtout un.

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