Le grand n’importe quoi des réseaux sociaux, 22e journée de L1

Le grand n’importe quoi des réseaux sociaux, 22e journée de L1

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Par Julien Choquet

Publié le

Un week-end de folie. 
Alors tout d’abord, nous tenons à présenter nos excuses pour ce grand n’importe quoi des réseaux sociaux, qui ne comportera que les matches du PSG et de l’OM. La raison ? Un manque de temps à cause d’une interview qui s’est éternisée avec Sebastien Thoen. Nous ne boycottons pas les autres équipes, croyez-nous, on aurait adoré rire de Monaco et vanter les mérites de Memphis Depay. 
Une fois les excuses posées, place au show. Tout démarre vendredi avec le traditionnel sketch du Vélodrome. Nicolas Pépé ouvre le score sur pénalty avant la mi-temps…



… répondant à Radonjic, qui pensait avoir marqué quelques minutes plus tôt avant de voir son but refusé par l’arbitre. 


En seconde période, le match part en vrille. Une bombe agricole tombe aux pieds de Jordan Amavi, causant l’interruption de la rencontre pendant 40 minutes. 








Dès la reprise, Florian Thauvin prend un carton rouge direct suite à une belle semelle. Le début du cauchemar pour l’OM, qui va même encaisser un doublé de Pépé juste avant le coup de sifflet final. 


Et parce qu’il faut bien trouver un peu de positif, parlons de Balotelli. Entré en jeu, l’Italien a marqué son premier but sous le maillot olympien à la 96e, réduisant ainsi la marque. 



Passons directement à dimanche, avec la réception de Rennes au Parc des Princes pour le PSG. Après l’ouverture du score de Cavani, Rennes aurait pu finir à 10 mais l’arbitre de la rencontre n’expulse par Niang malgré cet attentat sur Kehrer. Énorme incompréhension. 










D’ailleurs, l’attaquant rennais s’est excusé après la rencontre sur les réseaux sociaux. 

Et ironie du sort, Rennes égalise même dans la foulée grâce à… Niang. Mais tout change en seconde période, avec un changement de dispositif effectué par Thomas Tüchel. Mbappé, Di Maria et encore Cavani donnent un large avantage à Paris (4-1), qui sera définitif. 



L’homme du match : peut-être le coach parisien, qui a une nouvelle fois vu juste pour régler les problèmes de son équipe en première période. 


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