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L’anecdote (presque) oubliée : l’histoire du maillot du Brésil

L’anecdote (presque) oubliée : l’histoire du maillot du Brésil

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Brazil’s forward Ronaldo celebrates after his team defeated Germany 2-0 in the final match of the 2002 FIFA World Cup Korea Japan at International Stadium Yokohama 30 June, 2002, in Yokohama, Japan. AFP PHOTO/PATRICK HERTZOG / AFP PHOTO / PATRICK HERTZOG

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Par Allison Devillers

Publié le

C’est une histoire que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître. Heureusement, Football Stories ressort les archives du placard pour le meilleur comme pour le pire.
Quand on vous parle de maillot brésilien, il ne s’agit bien évidemment pas de l’épilation très échancrée empruntée à nos voisins latinos. Mais bien de l’histoire des tenues de l’équipe de la Seleçao. Vous ne le saviez peut-être pas, mais la sélection brésilienne n’a pas toujours représenté son pays sous le jaune canari et le vert pomme. On vous raconte le pourquoi du comment à travers cet épisode peu glorieux que le Brésil n’est pas près de zapper.

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Un combat gagné d’avance

Même s’ils ont fait quelques infidélités colorimétriques, les Brésiliens conservent majoritairement un maillot blanc jusqu’en 1950. Cette année-là, grande première pour le pays, le Brésil se retrouve pays organisateur de la Coupe du Monde. Un honneur sur lequel il compte bien s’appuyer pour faire de ce Mondial le sien. Mais la suite est tout aussi imprévisible que redoutable.
Cette compétition ne devait pas avoir de finale, les dernières phases étant en fait un mini-championnat. Mais le dernier match opposait deux équipes qui pouvaient encore terminer premières : le Brésil et l’Uruguay. Pour les Brésiliens, l’objectif est simple : ils peuvent se contenter d’un match nul pour crier victoire.
Un challenge qu’ils pensent alors gagné d’avance, les joueurs allant même jusqu’à fanfaronner auprès de leurs supporters. Le milieu Zizinho n’hésite pas à signer des autographes avec la mention “Brésil champion du monde”. Ce match ne devait être qu’une formalité pour démontrer leur suprématie dans le milieu footballistique.

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